“Plus que jamais épicurieux !”

Info lettre fin octobre/début novembre 2023

“Espérer, c’est investir dans ce que l’on ne voit pas encore ! “

Bonjour les vivants,
Buenos dias los vivientes,

Et oui, du haut de mes tous frais vingt ans depuis cinquante ans où je me sens plus que jamais “épicurieux” de la vie, que vous partager en ce premier mois d’automne ?

Justement, ce temps d’automne bienfaisant où la nature se replie, se met en veilleuse, se cocoone pour mieux renaître au printemps prochain ; ce temps où les fruits de saison – pommes, noix, noisettes, poires – contribuent à nous protéger contre les maladies de saison.

Et comme nous serons bientôt autour des 1er et 2 novembre, quelle que soient nos croyances, c’est aussi un temps de mémoire pour celles et ceux qui nous précèdent autant qu’un temps de transmission pour ceux et celles qui nous suivront !
Quel bonheur alors de vous partager le nouveau et superbe clip réalisé par Frédéric Philibert sur ma chanson

“Bon papa grand-père”

Cette chanson fut écrite en 1986 en cinq minutes et me dépasse complètement tant elle voyage à présent dans le monde entier. Dégustez-la ci-dessous dans ses quatre versions.

Vous partager aussi la belle découverte du “cimetière joyeux” de Sapanta en Roumanie, autre manière de nourrir nos mémoires de vies et d’au-delà de la vie, autre manière de rester plus que jamais bien et…bons vivants !

Enfin, en guise d’envoi, d’élan vers le renouveau/la renaissance, la courte mais bien belle interview de la chanteuse lyrique américaine Barbara Hendricks qui, avec son accent délicieux, nous partage sa plus profonde conviction en lien avec Simone Veil.
Deux femmes d’exception, l’une noire et artiste, l’autre juive et intellectuelle de haut niveau, toutes deux semeuses de beauté…
Par les temps qui courent, cela n’en vaut -il pas le détour ?

Belle traversée de l’automne et avec ma plus belle tendresse,

comme toujours !

” Rien de plus simple que de vieillir jeune. il suffit de travailler dans la joie tout en donnant le plus possible de son coeur “– Henri Bordeaux –